Le Théâtre national présente pour la première fois à Epidaure une pièce phare du théâtre grec moderne, dans une mise en scène de Yannis Kalavrianos. Écrite en 1993 en quinze syllabes, Médée de Mentis Bostanzoglou, ou Best, est une comédie explosive sur la réalité contemporaine de notre pays. Les héros s’inquiètent de l’inflation et du chômage, de l’austérité et de la corruption publique, des prêts et des allocations, sont en retard à leurs rendez-vous parce qu’ils tombent sur des marches, et aiment le grec ancien – à condition, bien sûr, de ne pas avoir à l’ étudier. Dans le monde de Bost, Médée, Antigone, un pêcheur, Jason, une nonne, Œdipe, Euripide et un Chœur bizarre coexistent de façon inattendue et harmonieuse, parvenant à dissiper toutes nos certitudes, «à juger les juges, à troubler les critiques et à libérer les spectateurs».
Représentation théâtrale surtitrée en anglais.
Le Théâtre national présente pour la première fois à Epidaure une pièce phare du théâtre grec moderne, dans une mise en scène de Yannis Kalavrianos. Écrite en 1993 en quinze syllabes, Médée de Mentis Bostanzoglou, ou Best, est une comédie explosive sur la réalité contemporaine de notre pays. Les héros s’inquiètent de l’inflation et du chômage, de l’austérité et de la corruption publique, des prêts et des allocations, sont en retard à leurs rendez-vous parce qu’ils tombent sur des marches, et aiment le grec ancien – à condition, bien sûr, de ne pas avoir à l’ étudier. Dans le monde de Bost, Médée, Antigone, un pêcheur, Jason, une nonne, Œdipe, Euripide et un Chœur bizarre coexistent de façon inattendue et harmonieuse, parvenant à dissiper toutes nos certitudes, «à juger les juges, à troubler les critiques et à libérer les spectateurs».
Représentation théâtrale surtitrée en anglais.